Mali Mélo…
Presque un mois que j’ai déserté la faute des chaussures ! Pour ma défense, sachez que ces dernières semaines ont été fortement perturbées par un évènement de choc, la venue de quelqu’un que je connais bien, ma MÔman! (dont nous ne dévoilerons pas publiquement la véritable appellation…) qui, bravant les vaccins et autres formalités désagréables, est venue ravitailler sa fifille en après-shampoing et accessoirement visiter le Mali.
C’est donc sans scrupules que je me suis octroyé une petite semaine de vacances, organisée au poil près par bibi et aussi un peu (beaucoup) par mon ami guide, Mohamed. Nous voilà donc tous les trois partis, également accompagnés de Bania/Vieux/Traore (barrez la mention inutile) pour six jours d’aventures et de découvertes.
De la splendide mosquée de Djenné (la plus grande construction en terre du monde !) aux somptueuses falaises du pays Dogon, rien n’a été épargné à nos mirettes ébahies.
Par respect pour « les personnes concernées », nous passerons sous silence les quelques déboires sanitaires rencontrés dans les campements Dogon (qui a dit fille ingrate?) pour ne retenir que la bravoure et l’héroïsme remarqués lors de l’ascension des falaises (diplôme à l’appui).
Six jours c’est évidement bien trop court pour aborder un pays comme le Mali. Six mois, dix ans, cent ans n’y suffiraient pas. Qui n’est pas Africain ne connaîtra jamais l’Afrique. Mais six jours c’est suffisant au moins pour se remplir les yeux et surtout le cœur, entre émotions fortes et leçons de vie. Un voyage simple. Simplement inoubliable.
Une chose est sûre, je n’en ai pas fini avec le Mali…